« La surpopulation carcérale est citée parmi les causes qui justifient le nombre élevé des morts dans la prison centrale de Makala », a affirmé ce mercredi 4 septembre, William Wenga de Human Rescue DRC, qui se définit comme une organisation nationale de protection et promotion des droits de l’homme.
Il estime que ce qui s’est passé constitue « un crime d’Etat ».